My Deejo – Handle Wake Magazine
« De quoi ?! Un couteau dans un site web de wake?! Mais c’est quoi le rapport! »
Heyyyy…. Tout doux bijoux… rappel toi tes yeux brillants lorsque ton père, ton oncle ou même ton grand-père t’ont offert ton premier Opinel… Rappel toi ce jour où, en jouant avec, tu t’es coupé le bout du pouce en voulant le refermer et en disant d’un air défiant toute autorité: « Même pas mal… »
Ça y est? Tu es nostalgique de ce cadeau qui fût longtemps une bien belle tradition?
Et bien figure-toi qu’aujourd’hui, non seulement tu peux la relancer, mais en plus, avec du style! Bref, Nous avons testé, et sommes plutôt content du résultat ! Maintenant, à nous d’éviter de se couper… Oui, la lame pardonne nettement moi que notre bon vieux Opinel… Pas sûre que nous puissions dire « même pas mal » ce coup-ci…
Alors pour customiser ton propre couteau, fonce sur my.deejo.fr !
Mais Deejo, c’est qui?!
Deejo est né de l’envie de Luc Foin et Stéphane Lebeau de redonner de l’élégance à un geste désuet : ouvrir un couteau de poche au quotidien.
« Lorsqu’en 2010 nous inventons un couteau de poche ultra-léger et dont le poids serait comparable à celui d’une simple lettre, nous sommes loin d’imaginer l’engouement qu’il va susciter.
Initialement pensé pour la marque Baladéo à destination des pratiquants des loisirs de randonnée qui nous font confiance depuis 20 ans, nous constatons que notre couteau plait bien au-delà de notre clientèle traditionnelle et s’impose dans un usage quasi quotidien un peu partout dans le monde. Il nous prend alors la folle envie de (re)mettre un couteau de poche au coeur de la vie de tous les jours du plus grand nombre.
Parce qu’un Deejo est utile et parce qu’un Deejo, disons le franchement, c’est beau.
Et comme chacun est différent, nous avons aussi pensé vous donner la possibilité de vous fabriquer un Deejo sur mesure, qui vous ressemble. »
Volubile, le verbe haut, Luc Foin a de l’enthousiasme à revendre, surtout lorsqu’il parle de couteaux. D’ailleurs, il en a toujours un dans sa poche. Dernier en date : le « 15 grammes », qui ne quitte pas son trousseau de clés. Son doigt caresse l’inox brossé. Visible délectation. Luc est un amoureux des objets, c’est plus fort que lui. Pas ceux qu’on entasse et qui finissent oubliés dans un coffre. Ceux qu’on utilise souvent, avec plaisir, et qu’on achète sans réfléchir, pour se faire plaisir.
Là où Luc Foin est impulsif, Stéphane Lebeau est réfléchi, rationnel. La création et le design des produits ? C’est Stéphane qui s’en charge. Il a le coup de crayon et l’oeil exigeant que son associé n’a jamais eu. Le suivi de fabrication ? La gestion des fournisseurs ? Encore Stéphane. Il a la patience qui fait défaut à son acolyte devant certaines lourdeurs administratives. Stéphane Lebeau n’est pas le plus sportif des deux loin s’en faut. Il l’avoue volontiers : jamais, il ne pourrait diriger une société qui fabrique des articles de sport. Il revendique le droit à la balade contemplative, en communion avec la nature. Dans ses poches, on trouve une boîte pour observer les insectes et un Deejo wood en bois de genévrier, dont il apprécie le parfum naturellement poivré… »